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DIASPORABLOG

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27 septembre 2006

PASSERELLE

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22 septembre 2006

CHANA TOVAH 5767 A TOUS NOS INTERNAUTES JUIFS ET

CHANA TOVAH  5767

A TOUS NOS INTERNAUTES JUIFS

ET

BON RAMADAN A NOS AMIS INTERNAUTES MUSULMANS

A TRAVERS LE MONDE

19 septembre 2006

PASSERELLE

Source : lefigaro.fr

en ligne le 19 septembre

Les délires antisémites

de Tribu Ka en correctionnelle

Le parquet a requis hier la fermeture du site Internet du gourou extrémiste noir, Kemi Seba. Auparavant, ce dernier s'était livré à ses habituelles provocations.

UNE TRENTAINE de gaillards noirs et de noir vêtus fait sensation dans la salle des pas perdus du tribunal de Paris. «On est la Tribu Ka», dit l'un, au cas où l'assistance n'aurait pas compris. Officiellement, le groupe de suprémacistes noirs est dissous depuis ses opérations d'intimidation contre des juifs, notamment rue des Rosiers. Mais ses adeptes ont profité hier de la tribune offerte par le procès fait à leur leader, Stellio Capochichi, alias Kemi Seba.

Assigné en référé par plusieurs associations, dont l'Union des étudiants juifs de France, qui demandent la fermeture de son site Internet, Kemi Seba donne le ton. «Racaille sioniste», crie-t-il à des personnes de confession juive venues suivre l'audience. «Toute l'humanité déteste les sionistes et vous le savez.» Autour, les «frères» saluent leur gourou de «otep, otep» énigmatiques, comme le culte kémite inventé par Seba. Un représentant du groupuscule d'extrême droite Bloc identitaire apparaît, cheveux court et blouson. Le rapprochement entre les deux mouvances semble encore balbutiant (nos éditions du 15 septembre 2006), mais Kemi Seba assure : «Nous avons les mêmes objectifs : séparer les Noirs et les Blancs». Or aujourd'hui, «ce qui m'intéresse, c'est de monter en haut de la pyramide, et ce sont les juifs qui sont en haut», explique le leader de la Tribu Ka.

Depuis quelques mois, son ire s'est concentrée sur les «sionistes» et il s'en félicite : «Je n'ai jamais eu autant de soutiens». Son site Internet résume désormais son «programme politique» : désionisation, dédommagement et rapatriement. «On rirait s'il s'agissait juste d'un groupe de désoeuvrés, explique Me Patrick Klugman, l'avocat de SOS Racisme. Mais Internet leur donne une audience qui les rend dangereux.» À longueur de pages, le site de Kemi Seba exalte le complot sioniste, déjà inscrit selon lui dans la Thorah. «Un système global d'oppression mené par des personnes de confession juive.» Des textes délirants brassent les poncifs antisémites, accusent les juifs d'être les premiers des négriers, des tueurs de Kémites (Noirs), expose Me Stéph ane Lilti, l'avocat de l'UEJF ; «Partout où coule le sang kémite, les kippas sionistes ne sont pas loin. Le temps d'éradiquer cette mafia sioniste est arrivé», annonce leur site.

«Propos manifestement illicites»

L'avocat de Kemi Seba, Me Philippe Missamou, se contente de défendre la liberté d'expression. Mais le parquet de Paris en juge autrement : «Les propos de ce site sont manifestement illicites.» Ils sont caractéristiques d'une «haine raciale et religieuse exclusivement antisémite». Leur caractère est «non seulement déplacé, mais aussi totalement illégal», estime le procureur qui se déclare favorable à la fermeture d'urgence du site Internet du leader de la Tribu Ka. Le président rendra sa décision le 25 septembre, mais Kemi Seba concluait déjà à la sortie du tribunal : «Les dés sont pipés. Le juge est sioniste...» Comme une sinistre ritournelle.

Cécilia Gabizon

15 septembre 2006

PASSERELLE

Source : lemonde.fr

en ligne le 15 septembre

George Clooney, Elie Wiesel

appellent l'Onu à agir

au Darfour

L'acteur et metteur en scène américain George Clooney et l'écrivain prix Nobel de la paix Elie Wiesel ont lancé jeudi un appel passionné au Conseil de sécurité des Nations unies pour qu'il mette fin au "génocide" au Darfour.

Les deux célébrités ont participé à une réunion à huis clos, organisée par l'ambassadeur américain John Bolton, pour inciter le Conseil à agir pour protéger la population de cette province soudanaise qui, selon l'Onu, est menacée d'une nouvelle catastrophe humanitaire si la force de l'Union africaine (UA) sur place s'en va fin septembre comme prévu.

"Je suis ici comme porte-voix des gens qui ne peuvent se faire entendre eux-mêmes", a déclaré George Clooney, qui a visité le Darfour et prend une part active à une campagne pour sauver la population civile.

"Pendant le temps que nous allons passer ici, plus de femmes et d'enfants vont mourir de mort violente au Darfour qu'en Irak, en Afghanistan, en Palestine, en Israël ou au Liban", a-t-il ajouté. "Aux Etats-Unis, c'est considéré comme un génocide. Pour vous, c'est un nettoyage ethnique".

"Mais qu'on ne s'y trompe pas, c'est le premier génocide du XXIe siècle et si on permet qu'il se poursuive, ce ne sera pas le dernier", a averti l'acteur.

Le mandat de la force de l'UA, de 7.000 hommes, sous-équipée et financée, s'achève le 30 septembre et Khartoum répète chaque jour son opposition à son remplacement par une force de l'Onu plus musclée capable de faire respecter un fragile accord de paix signé en mai et de protéger la population

14 septembre 2006

PASSERELLE

Source : lemonde.fr

en ligne le 14 septembre

John Le Carré

et le crocodile islamiste

Le Monde a publié dans son édition du 7 septembre un article de John Le Carré à propos de la récente guerre au Liban et de l'action menée par Israël. Le positionnement de ce texte, exceptionnellement en "une" du journal et non en page "Débats", lui confère un statut particulier. Est-ce un éditorial ? Exprime-t-il la position du journal ?

D'un écrivain dont l'oeuvre témoigne du souci porté aux demi-teintes, on attendrait une "interpellation" d'une autre teneur à propos d'un conflit complexe qui ne pâtit que trop des imprécateurs et des donneurs de leçons. Mais voilà. Habité par un venin qu'il peine à contrôler (la réunion de ces deux termes : "zélote égaré", pour désigner Israël mériterait de figurer dans un florilège des métaphores antijuives), John Le Carré est à mille lieues ici de l'éthique de l'écrivain comme de celle du politique.

Son article est une charge contre le seul coupable et le seul responsable, selon lui, des malheurs du Proche-Orient : Israël. Il nous présente une puissante armée de soudards, dirigée par des chefs incultes et barbares, qui ravage le Liban. Elle serait d'ailleurs coutumière du fait. A partir d'une comptabilité morbide des pertes, John Le Carré montre le déséquilibre des forces, ce qui lui permet, sans y toucher, de monter en épingle l'arrogante puissance de l'Etat juif.

Sous le prétexte du rapt de deux soldats, voilà une horde enivrée par le plaisir de la destruction du pays voisin sans que par ailleurs ces destructions n'aient une quelconque efficacité militaire contre un ennemi bien plus faible et potentiellement sympathique. Cet ennemi, le Hezbollah, n'est jamais présenté. Son mentor iranien est lui aussi absent de l'"interpellation". Les méthodes de guerre du Hezbollah consistant à installer des sites de fusée Katioucha au coeur des populations civiles ne sont pas mentionnées par notre agent secret. Les déclarations du président iranien ("Israël doit être rayé de la carte"), de sa créature libanaise, leurs projets politiques, les bombardements répétés des localités du nord d'Israël, la volonté exterminatrice du chef du Hezbollah ou d'Ahmadinejad ne font pas partie des éléments culturels ou idéologiques pris en compte par notre expert en intelligence qu'est John Le Carré.

PAS UN MOT 

Pas un mot non plus sur la complaisance ou la duplicité de cet Etat libanais, qui a laissé s'installer, contre sa propre souveraineté, le "Parti de Dieu" et son armée. Pas de renvoi non plus à la guerre libano-libanaise qui a ravagé ce pays pendant plus de dix ans. Pas un mot sur la mainmise de la Syrie sur le Liban, pas un mot sur l'assassinat de celles et ceux, journalistes libanais, qui avaient dénoncé cette colonisation. Pas un mot sur l'élimination des chrétiens d'Orient par les islamistes, sauf quand délibérément ils acceptent leur servitude. Pas un mot enfin sur les projets nucléaires de l'Iran.

Non, le seul fautif, c'est Israël. Le barbare, c'est Israël. Celui qui fabrique du terrorisme, c'est Israël. Israël a sûrement de grands torts, en premier lieu d'avoir sous-estimé les capacités militaires du Hezbollah. En Israël, l'heure est aujourd'hui à la recherche des causes internes qui ont mené à cette situation. Preuve, s'il en était besoin, de l'extraordinaire vitalité démocratique de ce pays. Mais quoi, la démocratie, autrement dit la liberté d'opinion, l'exercice de l'esprit critique, le statut des femmes, tout cela compte pour rien dans les options politiques de quelques grandes consciences européennes à la John Le Carré.

Pour ceux-là, triste tradition européenne, la liberté est un artefact. La vision de bataillons d'enfants armés et enrégimentés - ces membres de la Hitlerjugend à la sauce islamiste - hurlant à la destruction d'Israël ne les trouble pas le moins du monde. Et sans doute John Le Carré n'est-il pas loin de croire, pour paraphraser la formule célèbre de Churchill, que la disparition d'Israël calmera à tout jamais les appétits du crocodile islamiste, espérant de ce fait - pauvre espérance - que le crocodile négligera de s'attaquer à lui. En 1938, l'Europe, croyant pouvoir protéger son confort, a pactisé avec Hitler. Elle avait cru sans doute trouver dans le chancelier allemand un facteur de stabilité dans la région.

On connaît la formule de Churchill adressée à Neville Chamberlain après les accords de Munich : "Vous avez choisi le déshonneur pour éviter la guerre ; vous aurez la guerre avec le déshonneur." Face à l'islamisme radical, Israël est en première ligne. Tout comme, en 1938, les juifs se voyaient être la première proie désignée par le nazisme. On sait ce qui s'en est ensuivi pour l'humanité entière.

Le jour où le monde occidental prendra conscience que la paix et la démocratie sont des valeurs suffisamment chères pour mériter d'être défendues au prix de lourds sacrifices, alors sa vision d'Israël changera peut-être, mais ce sera un peu tard pour tout le monde.

Philippe Gumplowicz, universitaire ;

Marc Lefèvre, physicien (tous deux membres fondateurs des Amis de La Paix maintenant) ;

Pierre-André Taguieff, sociologue et politologue ;

Jacques Tarnero, chercheur.


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9 septembre 2006

PLUS D'INFOS SUR WW

9 septembre 2006

PASSERELLE

Source : newsletter du CRAN via libération.fr

«Il est du devoir d'un élu d'accueillir les familles de Cachan»

INTERVIEW • Joseph Rossignol, maire de Limeil-Brévannes, a pris un arrêté de réquisition de bâtiments pour héberger les familles du gymnase de Cachan •

Par Tonino SERAFINI

LIBERATION.FR : Vendredi 8 septembre 2006 - 19:46

Joseph Rossignol, maire (divers gauche) de Limeil-Brévannes,  a pris vendredi un arrêté de réquisition de bâtiments vacants pour héberger dans sa commune les familles du gymnase de Cachan. «Considérant que le droit d'occuper un logement décent est un principe à valeur constitutionnelle», l'élu se prévaut des articles du Code de la construction et du Code général des collectivité territoriales pour justifier sa décision. Mais le préfet du Val-de-Marne, Bernard Tomasini, a décidé d'engager un recours en référé devant le Tribunal administratif de Melun pour obtenir la suspension de l'arrêté municipal. Le tribunal devrait rendre sa décision lundi.

Pourquoi avez-vous décidé d'accueillir dans votre ville les familles du gymnase de Cachan ?
Il y a trois semaines, j'ai été contacté par le président du conseil général Christian Favier (PCF ndlr). Il me demandait s'il était possible d'accueillir dans ma commune les familles de Cachan. Il pensait à des bâtiments situés dans l'enceinte de l'hôpital Emile-Roux, car ils avaient servi en 1992 à héberger les familles maliennes qui campaient sur l'esplanade de Vincennes. Mais ces locaux ne sont plus adaptés. J'ai cherché une autre solution. J'ai proposé qu'on utilise les immeubles qui abritaient le CEA (Commissariat à l'énergie atomique). Ils sont désaffectés depuis l'an 2000. Il suffit de quelques travaux pour les rendre habitables. Ils seront financés par le Conseil général du Val-de-Marne. J'ai pris un arrêté de réquisition sur ces bâtiments car ils peuvent constituer une solution sérieuse pour sortir les gens de Cachan de leur précarité.

Pourquoi ce geste ? Les élus montrent généralement peu d'empressement à accueillir dans leurs communes des familles en situation précaire...
Je suis complètement conscient que la population de Limeil-Brévannes ne me suit pas majoritairement sur ce dossier. Y compris des gens qui sont proches de moi d'ailleurs. Mais j'ai toujours considéré qu'il est du devoir d'un élu de traiter les dossiers difficiles, surtout lorsqu'il en va du sort d'hommes et de femmes. Les familles de Cachan vivent actuellement dans des conditions inacceptables. Et pour moi, il ne s'agit pas de trouver cela «inacceptable» uniquement devant mon poste de télévision. Donc en tant qu'élu de la République j'agis sur ce dossier comme j'agis dans d'autres domaines. Dans ma commune nous sommes en train de construire la première école «zéro énergie» de France où l'on va produire plus d'électricité que l'on va en consommer. On ne se contente pas de reproduire ce qui existe et ce qui se fait ailleurs. On réfléchit à ce qui se fera demain. Et la France de demain je souhaiterais qu'elle soit moins égoïste. Et qu'on en revienne à ce qu'elle a toujours été: une terre d'accueil et d'intégration des différentes vagues d'immigration.

Ne craignez-vous pas qu'une fois les familles hébergées à Limeil-Brévannes, l'Etat ne vous laisse tomber ?
En général c'est ce qui se dit sous le feu de l'actualité. On a quand même un Etat responsable. L'exemple des Maliens de Vincennes me laisse penser que les relogements se feront, d'autant qu'un travail a déjà été mené depuis deux ans avec les familles de Cachan. En 1995 lorsque j'ai été élu, 185 personnes de l'ancien campement de Vincennes étaient encore présentes dans les locaux de l'hôpital Emile-Roux. Quand je suis arrivé, j'ai scolarisé les enfants, que mon prédécesseur refusait d'admettre dans les écoles de la commune. Ensuite j'ai pénétré de force à l'intérieur des bâtiments où ils étaient hébergés et j'ai fait effectuer par mes services des travaux pour protéger les enfants contre le saturnisme. La préfecture m'a dédommagé des travaux effectués. Ensuite tout le monde a été progressivement relogé.

9 septembre 2006

PASSERELLE

Sourece : lemonde.fr

en ligne le 9 septembre

Secousse tellurique en Israël

Un séisme de magnitude 4 sur l'échelle de Richter a secoué samedi le territoire israélien, a annoncé l'Institut de géophysique de Lod, près de Tel-Aviv.

L'épicentre de cette secousse tellurique, qui n'a fait ni victime ni dégâts, a été localisé dans le nord de la Cisjordanie, a-t-il précisé.

7 septembre 2006

DIASPORABLOG INVITE...

LE CRAN

La polémique, autour de la définition de la colonisation que donne dans sa version 2006/2007 le dictionnaire petit Robert, s'intensifie.

Au lendemain de l'interview qu'Alain Rey a accordé au quotidien Libération, Patrick Lozès, Président du CRAN ne désarme pas et s'engage à poursuivre ce combat dont il est à l'origine :

LE CRAN S’ETONNE DES PROPOS D’ALAIN REY SUR LES ASPECTS « POSITIFS » DE LA COLONISATION

Dans une interview accordée au journal Libération le 6 septembre 2006, le Directeur éditorial des éditions Le Robert, Alain Rey déclare :

« La mise en valeur d’une station de sport d’hiver ne veut pas dire qu’on va s’occuper de la nature, mais qu’on l’aménage pour se faire du fric! Et qu’était la colonisation de nouvelles terres sinon l’exploitation, la mise en valeur de ses richesses, au bénéfice des colons? Au-delà de ça, si on n’a pas le droit de parler des côtés positifs d’une chose qui est globalement négative, c’est une forme de révisionnisme! »

Cette réponse montre que, malgré le retrait de l’alinéa 2 de l’article 4 de la loi du 23 février 2005 mentionnant le « rôle positif » de la colonisation française, et les déclarations du président de la République, Jacques Chirac, tout reste à faire.

Le débat sur le « rôle positif » de la colonisation française n’aura donc servi à rien !

Devant le refus persistant des éditions Le Robert de retirer l'édition 2007 du dictionnaire Le Petit Robert, le Conseil Représentatif des Associations Noires de France (CRAN) appelle au boycott du dictionnaire Le Petit Robert.

Rappelons qu’aux mots « colonisation »  et « coloniser », Le Petit Robert propose en effet les définitions suivantes… inchangées depuis des décennies !

- Colonisation : « mise en valeur, exploitation de pays devenus colonies »,

- Coloniser : « coloniser un pays pour le mettre en valeur, en exploiter les richesses (…) ».

Les termes « mettre en valeur » et « mise en valeur » renvoient à l’exploitation matérielle des pays occupés par le colonisateur, qu’ils présentent sous un jour positif, comme le reconnaissent désormais les éditions Le Robert. Ces termes nient, délibérément ou non, la souffrance des peuples colonisés.

On ne peut pas mettre sur le même plan des richesses et des hommes. Comme le disait Aimé Césaire dans son Discours sur le colonialisme : « On me lance à la tête des faits, des statistiques, des kilomètres de routes, de canaux, de chemin de fer ? Moi, je parle de milliers d'hommes sacrifiés… »

La réponse d’Alain Rey est emblématique du fossé qui mine la société française.

Car comment se comprendre si on ne parle pas la même langue ?

 

Pour le CRAN,

Patrick Lozès, Président du CRAN

5 septembre 2006

DEBATTONS/INFOCOM

Un livre qui sort ces jours-ci ne manquera pas de susciter un vif débat et  d'intenses joutes polémiques. Il s'agit de "HALTE AUX FEUX" aux Editions FLAMMARION qui réunit en face à face, Elisabeth Schemla, ancien grand reporter au NOUVEL OBSERVATEUR, fondatrice et directrice du site PROCHE-ORIENT.INFO, placé plutôt en faveur de la politique menée par le gouvernement israélien et Pascal BONIFACE, politologue de gauche, Directeur de l'Iris, institut de géopolitique, foncièrement opposé aux décisions politiques prises par l'Etat d'Israël . 

Première d'une série de conférences, Elisabath Schemla et Pascal Boniface débattront et échnageront avec le public, le Jeudi 14 septembre à 20h 30 :

au Centre Bernard Lazare

10, Rue St Claude

75 010    Paris

01 42 71 68 19

bernardlazare@noos.fr 

Vous retreouverez d'ici quelques jours un compte-rendu de ce livre et une interview des auteurs sur www.diasporablogj.blogspot.com

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